Une étude britannique de la Royal Academy of Engineering a averti que, comme notre société dépend de plus en plus du système, la défaillance du système de géolocalisation GPS aura de graves conséquences. Comprendre comment le GPS gère nos fichiers. L’arrêt brutal du système de géolocalisation GPS sera-t-il le point de départ de futurs films catastrophe réussis? Dans une étude que nous venons de publier sur Internet, des chercheurs du Royal College of Engineering étaient sérieusement préoccupés par notre dépendance croissante à l’égard des systèmes de positionnement par satellite, et ils n’ont pas prédit la fin du monde au moment de l’accident.
Le système de positionnement mondial (GPS) des États-Unis est aujourd’hui le système de positionnement par satellite le plus utilisé dans les pays occidentaux. La Russie possède également le système planétaire Glonass, mais il est rarement utilisé. Pour éviter cela, le Royal College of Engineering a rédigé une série de recommandations. Tout d’abord, elle a suggéré d’améliorer les systèmes existants en ajoutant et en protégeant les signaux. Il est également recommandé d’interdire la vente et la possession de brouilleurs. En fait, des dizaines d’euros d’équipement sur Internet peuvent interférer avec la réception GPS. En particulier, s’ils sont volés, ils seront utilisés pour bloquer les systèmes de sécurité des voitures haut de gamme. Le Brouilleur Téléphone empêche le système de sécurité de recevoir des signaux GPS, il ne sait donc pas où il se trouve.
Le but principal du système GPS est de fournir des informations de localisation partout dans le monde, mais comme les signaux émis par les satellites sont contrôlés par des horloges atomiques, ils sont de plus en plus utilisés pour comprendre le temps. Ces informations très précises sont utilisées non seulement pour les transports, mais aussi pour les infrastructures Internet, les téléphones portables, les systèmes financiers, l’agriculture, l’industrie, etc.
Le professeur Martyn Thomas, qui dirige les travaux de la Royal Academy of Engineering, a cité une étude de la Commission européenne, qui estimait qu’environ 6% à 7% du PIB de l’UE, soit 800 milliards d’euros, provenait d’un système basé sur GPS activité. Cette dépendance est encore plus problématique car le nombre d’appareils utilisant des systèmes GPS continue presque toujours d’augmenter et le risque d’échec est loin d’être nul. Les signaux émis par les satellites en orbite à environ 20 000 kilomètres de la terre sont en effet relativement faibles et sont sensibles aux interférences naturelles (telles que l’activité solaire intense) ou humaines (interférences volontaires). Dans le pire des cas envisagé par l’étude, une défaillance complète peut entraîner des pertes économiques importantes et même des pertes de vie.