Les armes électroniques peuvent être utilisées dans un éventail croissant d’activités de combat – de la détection et de la défense contre les attaques d’engins piégés, à la perturbation des communications ennemies et même à la prise de contrôle des drones ennemis.
Le « Daily News » russe a cité des experts militaires disant que le brouilleur militaire Rychag-AV avait considérablement augmenté l’efficacité de l’attaque aérienne américaine contre la base aérienne syrienne d’Ash Sha’irat en avril 2017.
Par exemple, «renforcer la chaîne de mise à mort» peut impliquer l’utilisation de tactiques de guerre électronique pour empêcher les drones armés américains d’être «piratés», «brouilleurs de GPS» ou repris par l’ennemi. De plus, les systèmes de défense de guerre électronique peuvent mieux protéger les signaux radar, protéger la technologie de guidage des armes et bloquer les attaques sur de plus grandes plates-formes telles que les navires, les chasseurs et les chars.
Le brouilleur de nouvelle génération (NGJ) se compose de deux POD de 15 pieds de long situés sous l’avion EA-18G Growler.Ces POD sont conçus pour émettre des signaux électroniques qui interfèrent avec le radar. Il y a un brouilleur de chaque côté de l’avion.
Le système de brouillage radio est monté sur le support du pistolet, ce qui rend l’arme anti-drone légère (10 livres ou moins) et facile à utiliser. Il est conçu pour démarrer en 0,1 seconde après le démarrage et peut fonctionner pendant 5 heures en continu. Le public cible de DroneDefender (agences gouvernementales et forces de l’ordre) est non seulement familier avec le système, mais a également une conception semblable à un fusil.
Selon le programme d’information Vesti sur la chaîne de télévision nationale 1, un combattant russe a testé avec succès le brouilleur électronique sur un destroyer américain Donald Cook en mer Noire. Le rapport cite une source russe anonyme disant que la technologie pourrait éliminer toute la marine américaine.
Les interférences électroniques montrées dans les animations diffusées par les médias russes semblent indiquer l’utilisation d’armes électromagnétiques ou radiofréquences. Polygraph.info a constaté que cette technologie nécessiterait l’utilisation de pods externes suspendus aux ailes et / ou au fuselage de l’avion. Aucun pod externe de ce type n’est visible sur le Su-24.